Le Category Management
• On entend beaucoup parler de Category Management ou « Cat Man » sans avoir ce que cela recouvre.
Cette fonction reste assez mal définie car elle revêt une réalité différente selon la position que l’on occupe : marque / distributeur ou statut terrain / siège.
Par cette méconnaissance, les attentes deviennent très différentes.
Souvent complexifié à tort, le Category Management est définit comme :
- Une démarche reposant sur le regroupement de produits en univers cohérent ou catégories. Exemple en distribution sélective: Parfums / Soin / Maquillage
Chaque catégorie devient un domaine stratégique et est alors gérée comme une « mini-entreprise » dirigée la fois par le retailer et les marques, avec ses propres règles, C.A et/ou objectifs de profitabilité
- Des rapports distributeur / fournisseurs axés davantage sur la collaboration, l’ouverture et le partage d’informations
En quelques mots, c‘est harmoniser un marketing produit avec un marketing d'enseigne.
L’objectif est de trouver des sources de croissance par l’adaptation de l’offre aux attentes consommateurs (Demand Side)
• Dans un contexte où les tensions liées à la crise sont palpables, la concurrence est accrue et le pouvoir d’achat en baisse, le Category Management apporte une réponse concrète et performante, centrée sur les attentes des consommateurs
En utilisant cette stratégie, on va pouvoir :
- renouveler l’intérêt du consommateur-shopper et déclencher des actes d’achats (Remémoré - Impulsion)
- intégrer les évolutions marques/lignes et rendre cohérent un discours marketing en point de vente
- apporter de vraies innovations en commun, dans le cadre d’une vision commune
- définir un process marketing dédié aux Consommateurs-Shoppers
Autre avantage de cette démarche, elle n’est généralement pas longue à mettre en place et apporte des résultats concrets et tangibles
• Cette démarche opérationnelle ne dessert pas les marques. Au contraire, c’est une vraie stratégie au service du business, une stratégie gagnant-gagnant entre le retailer et la marque et cela, dès lors que les acteurs se mettent d’accord sur les objectifs.
M.Perdrizet
• On entend beaucoup parler de Category Management ou « Cat Man » sans avoir ce que cela recouvre.
Cette fonction reste assez mal définie car elle revêt une réalité différente selon la position que l’on occupe : marque / distributeur ou statut terrain / siège.
Par cette méconnaissance, les attentes deviennent très différentes.
Souvent complexifié à tort, le Category Management est définit comme :
- Une démarche reposant sur le regroupement de produits en univers cohérent ou catégories. Exemple en distribution sélective: Parfums / Soin / Maquillage
Chaque catégorie devient un domaine stratégique et est alors gérée comme une « mini-entreprise » dirigée la fois par le retailer et les marques, avec ses propres règles, C.A et/ou objectifs de profitabilité
- Des rapports distributeur / fournisseurs axés davantage sur la collaboration, l’ouverture et le partage d’informations
En quelques mots, c‘est harmoniser un marketing produit avec un marketing d'enseigne.
L’objectif est de trouver des sources de croissance par l’adaptation de l’offre aux attentes consommateurs (Demand Side)
• Dans un contexte où les tensions liées à la crise sont palpables, la concurrence est accrue et le pouvoir d’achat en baisse, le Category Management apporte une réponse concrète et performante, centrée sur les attentes des consommateurs
En utilisant cette stratégie, on va pouvoir :
- renouveler l’intérêt du consommateur-shopper et déclencher des actes d’achats (Remémoré - Impulsion)
- intégrer les évolutions marques/lignes et rendre cohérent un discours marketing en point de vente
- apporter de vraies innovations en commun, dans le cadre d’une vision commune
- définir un process marketing dédié aux Consommateurs-Shoppers
Autre avantage de cette démarche, elle n’est généralement pas longue à mettre en place et apporte des résultats concrets et tangibles
• Cette démarche opérationnelle ne dessert pas les marques. Au contraire, c’est une vraie stratégie au service du business, une stratégie gagnant-gagnant entre le retailer et la marque et cela, dès lors que les acteurs se mettent d’accord sur les objectifs.
M.Perdrizet
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire